Stress et sucre… La combinaison vous semble surprenante ? Elle est pourtant essentielle pour comprendre notre dépendance au sucre, et pour parvenir enfin à se défaire de ce stress quotidien qui nous ronge sans même que nous en ayons conscience.
Le stress… Cela fait des années que vous en souffrez. Acupuncture, relaxation, méditation, visualisation, yoga, vous avez tout essayé. Vous avez multiplié les lectures, vous avez 1000 fois pris la décision ferme d’arrêter de stresser. Mais toujours, à la manière de ces effets yo-yo que les personnes qui font des régimes connaissent bien, toujours vous avez eu l’impression de retomber dans vos anciennes habitudes émotionnelles, dans vos névroses, dans vos angoisses, dans ces petites peurs du quotidien qui, peu à peu, ont fini par vous pourrir la vie.
Mais alors, n’y a-t-il aucune issue au stress ? Ne peut-on vraiment y échapper ? Et si, finalement, la raison pour laquelle vous n’arrivez pas à vous défaire de votre stress résidait ailleurs ? Et si cette solution se trouvait tout simplement… Dans votre assiette ?
Et si vous ne voulez rater aucun de mes articles et être prévenu des nouveautés sur ce site, je vous invite à vous inscrire ici :
La véritable raison pour laquelle vous êtes stressé… Le sucre!
Aujourd’hui, c’est un jour « sans ». Aujourd’hui, vous vous sentez mal, vous n’êtes vraiment pas bien. Alors, vous mangez un biscuit.
Votre amour est parti. Vous ressentez ce terrible vide au fond de vous, cette sensation de perte immense que rien ne semble pouvoir soulager… Sauf, peut-être, ce petit morceau de chocolat qui vous fait de l’oeil et dont vous avez l’impression qu’il pourra vous aider un peu.
Vous vous sentez très seul(e). Vos amis ont organisé une sortie, et ils ne vous ont pas invité(e). Vous êtes amer, déçu, et sans même vous en rendre compte consciemment, vous vous dirigez vers le congélateur pour vous préparer une bonne boule de glace.
Vous avez déjà vécu de telles situations ? C’est tout à fait normal. Tout le monde a déjà fait l’expérience de cela. Il n’y a rien de plus efficace que le stress pour nous inciter à plonger notre main dans un paquet de bonbons ou de chocolats. Cependant, de nouvelles études scientifiques montrent que, loin d’être un facteur apaisant, le sucre nous rendrait encore plus stressés.
Selon l’oeuvre de bienfaisance « Food for the Brain », un groupe de médecins, de scientifiques, de psychiatres et de psychologues ayant pour but de montrer le lien de cause à effet entre notre alimentation et les maladies mentales, il y a une corrélation entre les changements comportementaux et le niveau de sucre dans le sang. Deborah Colson, thérapeute nutritionnelle pour « Food for the Brain », souligne notamment le fait que la plus grande cause de désequilibre émotionnelle est un haut taux de sucre dans le sang. C’est comme si un haut taux de sucre dans le sang enrayait notre capacité à résister au stress. Ce que fait le sucre, c’est de créer des changements dans votre organisme qui amplifient votre stress quotidien, qui lui donnent des proportions disproportionnées.
Pourquoi certains aliments vous stressent
Des bruits soudains et inquiétants, des événements inattendus sont stressants. Mais il existe aussi un facteur de stress invisible et pourtant très menaçant que nous connaissons tous : le sucre.
Consommer du sucre raffiné et des aliments transformés entraîne une augmentation très rapide du taux de sucre dans le sang. Cela crée des sautes d’humeurs : le taux d’insuline augmente, ce qui amène notre corps à stocker la graisse plutôt qu’à la brûler, et ce qui augmente très rapidement le taux du sucre dans le sang. En fait, plus notre taux de sucre dans le sang est instable, et plus nos émotions fluctuent. Quand nous nous mettons en colère, que nous sommes déprimés, tristes, et que nous ne pouvons pas penser de façon claire, nous avons tendance à avoir faim, et à nous tourner vers le sucre pour soulager ces sensations. Mais ce soulagement est temporaire : la sensation de soulagement provisoire est vite remplacée par une nouvelle vague de colère, de révolte et d’énervement.
En fait, plus votre taux de sucre dans le sang fluctue, plus mal vous réagirez aux événements stressants de votre vie. Et votre dépendance au sucre deviendra bien vite un piège, vous obligeant à consommer toujours plus de sucre, pour ressentir une sensation de soulagement toujours plus fugace.
Le lien entre sucre, stress et cortisol
Que se passe-t-il lorsque nous mangeons sucré ?
Lorsque nous mangeons sucré, notre corps produit une petite dose de serotonine, mais également, du cortisol et de l’insuline.
- La serotonine
Dans son livre « Fat Chance : The Bitter Truth About Sugar » (que l’on pourrait traduire par : « Risque d’obésité : le sucre, cette vérité bien amère », le Dr Robert Lustig explique que la joie n’est pas seulement une sensation, ou une simple émotion. Elle est produite par la chimie à l’oeuvre dans notre corps, en particulier par l’hormone que nous appelons la serotonine. Un manque de sérotonine et nous voilà en dépression clinique sévère ! Un des moyens d’augmenter rapidement la production de serotonine, c’est de manger davantage de glucides, et en particulier des aliments sucrés. Oui, mais… L’effet de cette petite dose de serotonine dure très peu de temps ! Et ce petit plaisir semble bien fugace, lorsque l’on comprend ce qui se produit dans notre corps par la suite…
- Le cortisol
Le cortisol est cette hormone que nous produisons en réponse au stress. Manger du sucre, cela revient en substance à manger un concentré de stress en boîte. En plus, le cortisol augmente de façon significative notre envie pour des aliments « refuge ». Ce qui explique en partie pourquoi plus nous mangeons du sucre et plus nous avons envie d’en manger : Au fur et à mesure des années, le cortisol entraîne à une consommation excessive de nourritures riches en sucres et en graisses. Cette hormone joue donc à la fois un rôle sur notre stress, mais aussi sur le taux de sucre dans le sang.
- L’insuline
Mais en plus d’augmenter notre taux de cortisol, consommer du sucre augmente également le taux d’insuline dans notre corps. Cette hormone entraîne à la fois une prise de poids et de la fatigue chronique.
Ainsi, au fil du temps, l’excès de sucre nous plonge dans un cercle vicieux dont il est bien difficile de sortir.
Le sucre, cette drogue dure
Dans un article précédent, j’ai montré en long, en large et en travers comment la consommation du sucre crée rapidement un effet de dépendance dans notre organisme. Oui, l’addiction au sucre est réelle, et elle ne touche pas seulement les personnes obèses, loin de là ! En fait, l’addiction au sucre est pire que celle créée par certaines drogues dures. D’autant plus que nous consommons du sucre depuis que nous sommes au berceau, ce qui explique que notre corps y soit tellement accro !
Pourquoi arrêter le sucre est-il si difficile ?
Que se passe-t-il quand nous mangeons du sucre ? Notre corps prend le pouvoir sur notre esprit ! Ce que nous mangeons entraîne une modification hormonale dans notre corps, qui, sur la durée, impacte notre état émotionnel, et nous incite à manger encore plus sucré.
Arrêter le sucre, c’est expérimenter une réelle privation, à la fois physiologique et psychique. Notre cerveau et notre organisme ont besoin de cette dose de sucre que nous ne leur donnons plus et à laquelle ils se sont habitués avec les années. Il est donc tout à fait normal de ressentir de grandes difficultés, y compris physiologiques, lorsque nous arrêtons le sucre. Les 3 premières semaines, on peut être pris notamment de forts maux de tête et même de vertiges. C’est pourquoi la plupart des gens ne parviennent pas à arrêter le sucre sur la durée. Pour parvenir à effectuer ce sevrage, il faut une volonté de fer couplée à la mise en place de bonnes habitudes qui vous aideront à redonner le pouvoir à votre esprit sur votre corps.
Les effets de l’arrêt du sucre sur notre état émotionnel
Toutes les personnes étant parvenues à se sevrer du sucre vous le diront : arrêter le sucre, c’est vivre une vie beaucoup plus calme et sereine, beaucoup moins stressée. Arrêter le sucre, c’est reprendre la main sur votre existence : ce n’est plus être perpétuellement dans la réaction, mais être dans l’action.
Vos enfants sont toujours très énervés ? Ils sont excités en permanence ? Avez-vous déjà pensé à jeter un oeil sur la composition de tous ces biscuits et autres céréales ou compotes que vous leur donnez au petit-déjeuner ou au goûter ? C’est simple : si le mot « sugar » vient en premier sur l’étiquette, c’est qu’il s’agit de l’aliment le plus important dans la composition du produit concerné. Croyez-moi : J’ai conseillé à plusieurs parents de mes coachés, à plusieurs de mes amis qui trouvaient leurs enfants trop turbulents d’arrêter le sucre, pour eux, comme pour leurs enfants. Et toutes et tous, sans exception, sont revenus vers mois quelques semaines plus tard en m’expliquant à quel point l’arrêt du sucre avait eu des effets extraordinaires sur leur stabilité émotionnelle.
Je me souviens notamment d’une petite fille de 5 ans. Ses parents étaient inquiets : ils la trouvaient très instable. Elle dormait très peu la nuit, faisait des cauchemars terribles, avait de gros problèmes de constipation, elle courait sans cesse dans tous les sens et était incapable de patienter. Ils avaient consulté des médecins, mais sans résultat. La petite n’était pas atteinte de quelque trouble que ce soit. Mais pour autant, son état ne s’améliorait pas. Conscient de ce que nos aliments ont des effets beaucoup plus considérables que nous ne l’imaginons sur nos comportements, j’ai conseillé aux parents de la petite de changer son alimentation. Ils sont revenus à des fondamentaux : plus de fruits, plus de légumes, pas de sucreries, pas de chocolat, un peu de sport et d’activité physique chaque jour. Le résultat fut spectaculaire, et en quelques semaines, la petite fille dormait beaucoup mieux, elle n’avait plus de problèmes de transit, et surtout, elle était beaucoup plus calme qu’auparavant.
Alors, oui : arrêter le sucre est difficile. Cela prend du temps. Il y a même des chances pour que les 3 premières semaines de votre sevrage soient très dures à supporter, même si nous sommes tous très différents dans notre gestion du manque de sucre, que cela varie d’une personne à une autre. Mais arrêter le sucre, c’est peut-être aussi ce grand changement que vous attendiez dans votre vie, cette démarche qui vous permettra enfin de vous sentir plus stable et plus serein, plus à l’aise dans votre corps, tout en vous permettant enfin de perdre tous ces kilos qui s’accumulaient depuis tant d’années.
Une période de sevrage difficile, mais nécessaire
Vivre sans sucre, c’est possible. Je ne mange plus d’aliments sucrés, et croyez-moi, je n’en souffre pas. Au contraire, je me sens délivré : c’est moi qui dicte à mon corps ce qu’il doit manger, et pas le contraire ! Je me sens beaucoup plus calme et serein, moins stressé.
Arrêter le sucre, c’est commencer par expérimenter une période de sevrage. Elle peut durer de 1 à 4 semaines durant lesquelles vous serez certainement plus irritable que d’habitude. Votre corps va vous faire la vie dure le temps de s’habituer à ne plus recevoir sa dose journalière, à laquelle vous l’avez habitué depuis des années. Il faudra y aller en douceur, mais sans renoncer. Déshabituer peu à peu votre palais du goût du sucre. Retrouver des habitudes de vie et d’alimentation plus saines.
Plus tard, vos efforts deviendront plus faciles : vous vous surprendrez à avoir des envies non plus de bonbons et autres gâteries sucrées, mais de fruits et légumes frais. Personnellement, quand je rentre chez moi après une journée de déplacement, mon premier réflexe est de boire un petit jus de citron frais pressé, de croquer à pleines dents dans une carotte crue, ou encore de déguster avec plaisir quelques quartiers de tomate arrosés d’un filet d’huile d’olive.
Ce que vous gagnerez en arrêtant le sucre
Depuis que j’ai arrêté le sucre, j’ai pu expérimenter différents effets sur mes émotions comme sur mon organisme :
- Je ne suis plus stressé de façon constante
- Le seul stress qui me reste, c’est le stress positif : celui qui me booste
- J’arrive à prendre plus de recul par rapport aux événements de ma vie
- Je suis plus calme, plus serein au quotidien
- Je n’ai plus de fringales
- Quand je mange des petits en-cas « nature », par opposition aux en-cas « sucre », je reprends de l’énergie pour longtemps
- Je suis plus performant en termes physiques et sportifs
- J’ai moins de trous de mémoire
- Je suis plus patient au quotidien
Bon stress et mauvais stress
Comme je l’explique souvent lors de mes conférences, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise émotion. Une émotion, c’est avant tout un signe, un signal que nous envoie notre corps pour que nous réagissions de manière adéquate. Fuir ou combattre sont autant de décisions qui nécessitent que l’on se trouve au maximum de nos capacités, que le sang afflue de façon rapide vers nos membres. Mais lorsque l’angoisse devient quotidienne, lorsque notre stress porte sur des événements qui ne sont pas réels, qui sont du ressort du passé (regrets) ou de l’avenir (craintes), le stress devient une émotion qui nous entrave. C’est sur ce type d’émotion qu’agit le sucre.
Comment arrêter le sucre et renouer avec une vie sans stress
Renouer avec une alimentation qui ne décuple pas nos émotions négatives de façon artificielle, c’est faire le choix d’une vie plus sereine.
Pour cela, il vous faudra adopter une façon de manger, mais aussi une façon de vivre différente. Manger différemment, faire plus attention à votre corps et à ses besoins fondamentaux, renouer avec une cuisine plus saine, avec des petits plats faits maison, réapprendre à profiter des moments en solitaire pour vous reconnecter avec le silence de votre âme, vous abandonner à la reconnection avec vous-même, et profiter de petits plaisirs simples mais vrais comme des promenades en pleine nature, des moments partagés en famille. Faire le choix d’abandonner le sucre pour profiter d’une vie sans stress, c’est aussi l’occasion de réapprendre à penser au quotidien de façon à ne pas laisser l’occasion à vos craintes, à vos angoisses, à vos limites de reprendre leur emprise sur vous.
Arrêter le sucre, c’est une petite décision qui peut faire une grande différence dans votre vie. Pour moi, pour mes coachés, pour mes amis, pour mon entourage, l’arrêt du sucre a fait une vraie différence. Et pour vous ? Partagez avec moi dans vos commentaires ce qu’a changé l’arrêt du sucre dans votre vie. Si vous voulez arrêter le sucre, mais que cela vous semble trop difficile, contactez-moi : j’ai aidé des centaines de personnes à arrêter le sucre, ce qui leur a permis de vivre une vie plus saine, de retrouver un poids santé, et de mieux gérer leurs émotions au quotidien.
Bonjour
Je trouve ton article très intéressant et bien construit.
Un énorme merci, Audrey pour ce retour qui fait plaisir et qui encourage ! 😉
votre permis de conduire comme une lettre à la poste contactez dupontjacques74@gmail.com
Bonjour très intéressant cette article moi je voudrais savoir si la stevia que j’ai dans mon potager est du mauvais sucre.
Merci
Bonjour Bonnie et merci pour ce commentaire ! La stevia que l’on trouve dans les supermarchés est à bannir complétement, car comme elle a un arrière-goût de réglisse qui n’est pas toujours apprécié par les consommateurs, les industriels rajoutent souvent du sucre à la stevia… Quant à celle de ton potager, elle est bien sûr moins nocive que du sucre artificiel, mais les spécialistes expliquent tout de même que le plus pertinent serait quand même de se déshabituer du goût sucré…
Article très intéressant en effet. Mais pas si simple. J’en comprends bien les bénéfices mais j’avoue qu’une petite sucrerie de temps en temps fait partie des petits plaisirs de la vie. Et des fois, lorsqu’on se frustre alimentairement parlant, on retombe apres dans le travers en 10 fois pire. Maintenant c’est à essayer. Voir si apres 4 semaines non stop sans sucre, on en a plus du tout envie.
Merci Stephanie pour ton commentaire, c’est pour cela que je conseille d’arrêter le sucre en douceur, petit à petit. Pour l’argument de « un petit peu de sucre ne peut pas faire de mal », c’est justement l’argument qui était utilisé pour la cigarette il y a quelques années, avant la prise de conscience pour les méfaits du tabac. Dans quelques années certainement, il y aura aussi une prise de conscience généralisée pour les méfaits du sucre.
Pour ma part J’en suis à 3 semaines d’arrêt, mais je crois que le sevrage est loin d’être terminé, j’ai lu sur d’autres site que ça pouvais duré moins longtemps, d’autres avec qui j’ai eut l’occasion d’en discuté mon parlé de plusieurs mois de sevrage, je ne mange plus de bonbons plus de viennoiseries, de confiseries, je ne bois plus de sodas et de jus de fruits, la première semaine j’étais un peu fatigué, la 2 ème je devais faire une sieste d’au moins 20 minutes à mes poses déjeuné car j’avais des courbatures et aucun répondant dans les muscles, et là j’en suis à ma phase ou je suis hyper irritable un rien m’énerve beaucoup, hier j’ai failli pendre un coup de sang et taper quelqu’un sur un lieu de travail qui se moquai de moi, j’avais dans mes mains une bouteille d’eau vide que j’ai froissé très fort, je l’est tellement fixé dans les yeux avec ma colère qu’il n’a même plus osé me soutenir du regard.. et cette nuit je n’est pas réussi à dormir convenablement, parfois je me demande vraiment si j’ai réellement arrêté le sucre puisque justement mes attentes sont axés sur la stabilitée émotionnelle, bien sur quand je fais les courses je lis les étiquettes et connais la liste des dérivés du sucre raffiné je reste très attentif, mais est ce qu’il n’y aurais pas des sucres cachés dans ces aliments qui ne sont pas sensés être sucrés comme dans un sandwich provenant d’une boulangerie par exemple? si il y en as sont t’ils suffisants pour avoir leur impact nocifs? ou est ce que cette phase est du au sevrage? est-il capable de faire ça ce qui voudrais dire que j’évolue vers la bonne voie?
Le coté positif c’est que je suis tellement énervé que j’ai beaucoup plus d’énergie à revendre que lorsque je consommais le sucre, en éffet apres 9 h de travail hier je suis allé aidé mon père à faire des travaux et une fois rentré chez moi je me suis mis à faire quelque séances d’altères alors que ça faisait des années que je n’y touchais plus, ça m’a l’air déja bien mieux sur le plan énergique mais cette phase émotionelle m’inquiètte quand même beaucoup car je ne me suis jamais autant mis en colère que ça dans ma vie est ce que c’est normal?
Bonjour,
Depuis Avril je vois que mon alimentation a un tres fort impact sur mon stress. En effet depuis 7 mois, je tâche de suivre le regime cetogene et dès que je fais des ecart, l’extreme anxiété/angoisse que j’ai toujours connu revient de plus belle. J’ai essayé differentes possibilités dans ce regme et j’ai du mal a voir quels sont les aliments (parmis tous ceux que j’ai éliminé) qui sont responables de cesreaction clairement handicpante. Auriez vous des pistes de professionnel medical à me conseiller (j’ai deja rencontré mon medecin généralise, une endocrinologue-diabetologue mais sans avanacée). Merci
Bonjour,
Je suis enceinte de 6 mois, je suis vegan et j’aimerais arrêter le sucre, ou plutôt les sucres cachés dans le lait et les yaourts végétal, les biscuits, le chocolat noir et les compotes…et autres.
Pensez-vous que cela puisse être plus difficile du fait de l’an grossesse? (J’ai peur des vertiges…)
Et puis-je continuer à mettre des pommes ou autres fruits dans mes jus verts? J’en mets en général trois petites pour 600ml de jus.
Je suis vraiment accroc à mes jus verts maison, mais sans pomme… aie aie aie.
Merci pour votre article et votre réponse 🙂
Bien à vous,
Emilie
Comment faire quand on travail 39h par semaine dans une chocolaterie?
6 mois et +8kg plus tard je désespère.
Bonjour , je n’ai pas arrêté le sucre ; juste j’essaye d’en consommer un peu moins ; c’est juste pour faire le constat que étant fumeuse, je me suis aperçu que chez moi la consommation de chose sucrées appelait l’envie de fumer ; ce qui signifie pour ma part que le sucre est bien lié aux émotions ! voir récompense, frustration ,colère,tristesse!…peut-être refoulées!? à cause de notre éducation,de notre vécu,ne pas pleurer en publique , ne pas exposer sa colère , tout les codes de société qu’on nous inculque depuis des siècles. Voilà c’était juste un constat…