Bonjour tout le monde et soyez les bienvenus ici chez moi dans mon jardin. J’ai une grande chance d’habiter cet endroit idéal, vous voyez la forêt juste là derrière. Mais en fait, non. Je ne vais pas dire que j’ai de la chance : j’ai choisi de vivre ici. On ne peut pas avoir une chance si on ne la crée pas.
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Ne plus se donner d’excuse
Aujourd’hui, je vais pousser un petit peu un coup de gueule en répondant à la dernière question de Vincent. Je vais profiter de cette réponse en images pour vous montrer comment on peut lutter contre l’inertie qui nous paralyse quelques fois. En fait, Vincent a rebondit au sujet de ma dernière vidéo, sur le changement. Il me dit : « Oui, se changer, ce n’est pas facile. On sait tous le dire, mais pour le faire, ce n’est pas possible. Vous, vous avez réussi, donc c’est facile pour vous de parler, vous nous prenez un peu pour des imbéciles. En plus, l’âge venant, c’est moins facile, de se changer…»
Vincent, laisse-moi te dire une chose : je t’aime quand même ! Merci pour ton commentaire. Ton point de vue est intéressant. La majorité des gens partagent ta vision. Je ne veux pas te heurter, Vincent, et je ne veux pas heurter les lecteurs, mais mon rôle de coach, c’est de secouer les gens, de les regarder droit dans les yeux et de leur dire ce qu’il faut dire. Changer une situation, se changer, cela n’a rien à voir avec l’âge, ni avec le sexe de la personne concernée. Tout repose sur ta psychologie.
Tu sais comment on fait, et tu passes à l’action. C’est ta psychologie qui pose problème. Justement, si comme tu le dis toi-même, « le dire, c’est facile », qu’est-ce qui t’empêche de passer à l’action ? Prends une feuille et liste. Écris ce que tu pourrais faire pour changer, pour te changer. Tu es quelqu’un de génial. Tu as les mêmes capacités que moi, que tout le monde. Il n’y a personne qui est meilleur que l’autre, il n’y a personne qui est plus intelligent que l’autre, mais ce qui fait la différence, c’est notre psychologie, c’est nos engagements.
Lutter contre l’inertie, c’est s’engager pour changer
Qu’est-ce qui t’empêche aujourd’hui de t’engager? Qu’est-ce qui t’empêche de lutter contre cette inertie qui t’emprisonne ? Est-ce que tu préfères passer ta vie en souffrance, est-ce que tu préfères souffrir que de changer une situation? Quel est le plus difficile? Quel est le plus confortable pour toi? C’est le sens que tu donnes aux choses. Vincent, je le répète : tu es quelqu’un d’exceptionnel, tu es quelqu’un de génial, et je le suis aussi. Moi, j’ai compris que je suis exceptionnel, que je suis génial, que je suis le commandant de bord de mon destin.
Non, je ne laisse pas les choses au hasard. Je ne vais pas me plaindre, je ne vais pas me plaindre auprès d’une tierce personne que j’ai des difficultés. Qu’est-ce que je cherche en faisant cela? Je cherche la reconnaissance. Je cherche quelqu’un qui soutient ma cause, qui me plaint, qui me dit : « Ah oui », qui me regarde, qui me dit : « Oh le pauvre, tu as ça et ça, tu as tous ces problèmes ! » Non, je ne cherche pas cela. Et je ne veux pas vivre cette vie. Quand je suis devant des difficultés, et j’ai beaucoup de difficultés, et j’ai connu beaucoup de difficultés, et je sais d’où je viens, quand je suis devant des difficultés, donc, je relève le défi. Je sais comment j’ai commencé. Je sais de quoi je parle. Je ne dis jamais : « j’ai un problème » pour que les gens me plaignent et me disent « Oh, le pauvre! ». Oui, je dois relever le challenge, je dois frapper pour changer la situation. Et c’est exactement ce que tu dois faire, Vincent !
Arrêter de se plaindre et reprendre confiance en soi
Laisse toutes ces excuses, laisse de côté toutes ces phrases qui commencent par : « Oui, mais les autres… » Non ! Tu n’as pas besoin de diplôme pour changer, tu n’as pas besoin d’une grande réussite pour changer. Tu peux commencer. Toute démarche commence par un premier pas. Fais ce premier pas, Vincent. Tu es génial, tu peux tout faire. Crois-moi, change ta psychologie, et tout changera pour toi.
Je pourrais moi aussi te plaindre, je pourrais te dire : « Oh, le pauvre… » toute la journée, je pourrais te dire : « Oh, Vincent ! tu as trop de problèmes… » Mais, non. Pour moi, il n’y a pas de problèmes. Il y a des difficultés, je comprends, mais il n’y a pas de problème. Le « problème », c’est juste un mot que l’on utilise pour se plaindre, pour ne rien faire, pour tout justifier.
Voir les difficultés non comme des problèmes, mais comme des défis à relever
Pour moi, les difficultés, ce sont des défis. C’est quelque chose qui me renforce et qui te renforce toi aussi. C’est quelque chose qui te met à l’épreuve, c’est quelque chose qui t’appelle à l’action, qui te dit que tes performances ne sont pas à jour, qui te dit que tes connaissances ne sont pas à jour, qui te dit que ta stratégie n’est pas à jour. Change ta stratégie, change tes pensées, renforce tes performances. Fais des investissements en toi-même, pas dans des vêtements, pas dans des T-shirts, pas dans des jeans, pas dans la voiture, pas dans la maison. Fais un effort dans ta psychologie. Tu peux changer. Vas-y, achète un livre. Tu n’en as pas les moyens? Va à la bibliothèque municipale ! Tu n’as pas d’excuse ! Va dans une bibliothèque municipale, consacre un petit moment à toi-même, essaye d’apprendre des nouvelles connaissances, essaye d’acquérir de nouvelles compétences.
Cesser de se préoccuper des autres
Essaye de tisser d’autres liens d’amitié. Essaye de fréquenter des gens qui te disent : « Oui, c’est possible ! ». Pas des gens qui te plaignent, qui te disent : « Oh, le pauvre. Oh, moi aussi, j’ai la même situation, oh moi aussi je connais ça, oh moi aussi je suis dans la même situation, oh les autres sont comme ça… »
Les autres, ça n’existe pas ! C’est ta perception des choses, c’est ton état interne que tu vas refléter, que tu vas projeter sur les autres et qui va t’amener à les percevoir de telle ou telle façon. En fait, quand tu fréquentes réellement les autres, tu te rends compte qu’ils ne sont pas tels que tu te les imaginais.
Vincent, allez ! Passe à l’action ! Je te dis ça parce que je t’aime ! Je te dis cela parce que je veux que tu vives bien. Je veux que tu sois bien. Je ne te dis pas cela pour t’embêter. Je te regarde dans les yeux et je ne te dis pas cela pour te dire que je suis mieux que toi. Non, je ne suis pas moralisateur. Je crois à quelque chose qui me pousse à avancer : je crois que je suis génial, que je suis exceptionnel, et je suis fier de le dire, et je te dis que toi aussi tu es exceptionnel, tu es génial et tu es unique, que tu es bien meilleur que moi et que beaucoup de personnes. Sur ce, je te dis : allez, fais le premier pas et change ce que tu veux changer dans ta vie.
Je valide tout simplement
Merci Alassane pour ce commentaire ! 🙂